Descriere
The first recital of Emil Gilels at the famous Carnegie Hall took place in 1955, during his tour through the United States. The reviewer of „The New York Times” Horward Taubman wrote in his article on October 5, 1955: „Playing in New York for the first time last night, Gilels proved that he is a virtuoso in the grand line… His fingers nave boundless agility and control . . . The piano bends to his will …”
Some days later, critic Louis Biancolli was to wrote: „His technique is wizardry of the most brilliant sort, disciplined and sure, and never there for its own sake … But just as there was more than manual magic to last week’s Tchaikovsky Piano Concerte No. 1, so there was more — much more — to last night’s interpretations than an exhibition of prodigious skill. The poetry and feeling were again there as a testament of higher faith”.
In season of 1968—1969 Emil Gilels arrive to USA for the seventh time. Informing about great success of musician’s performances American press marked that Gilels was given a reception that can only be classed with those bestowed upon Artur Rubinstein and Vladimir Horowitz.
On February 2, 1969, Gilels gave at Carnegie Hali an unforgettable recital which American music reviewers called historic. „Emil Gilels’ sold-out
recital alternated savage brilliance with tenderness – – power with lyric simplicity” (The New York Times).
On two discs of the present album are recorded the works by Bach, Beethoven, Medtner, Prokofiev, Ravel an Chopin, which Gilels performed during that historic recital at the Carnegie Hall.
En 1955 Emile Guilels donna, dans le cadre de sa première tournée aux Etats-Unis, un concert inaugural au Carnegie Hall. G. Taubman, critique du quotidien «New-York Times» écrivait dans son article du 5 octobre 1955: «Hier soir, au cours de son premier récital à New-York, Emile Guilels prouva qu’il est un virtuose hors-ligne . . . Ses doigts sont doués d’une agilité et d’une discrétion remarquables. Le piano se plie à sa volonté .. .
Quelques jours plus tard, le critique Louis Biancolli remarqua: «Sa techni¬que, c’est de la sorcellerie de haute qualité, disciplinée et sûre elle n’est jamais une fin en soi… De même que l’interprétation du premier concerto de Tchaïkovski de la semaine dernière, son jeu ne se réduisit pas à une sorcellerie manuelle, mais déborda le cadre de l’étonnante maîtrise; la poésie et le sentiment furent là pour témoigner du plus rarissime des talents musicaux».
La saison 1968—69 enregistra laseptième tournée du pianiste aux Etats-Unis. Rapportant le succès grandiose de ses concerts, la presse américaine nota que seuls trois pianistes modernes reçurent un pareil accueil, ce furent Arthur Rubinstein, Vladimir Horovitz et Emile Guilels.
Le 2 février 1969 Guilels donna au Carnegie Hall un récital que les cri tiques musicaux américains furent unanimes à qualifier d’ «historique»: «Le récital Guilels allia brio étourdissant et tendresse, puissance et simplicitié lyrique» écrivait le «New-York Times».
Cet album vous offre la gravure du concert de Carnegie Hall où Guilels exécuta des œuvres de Bach, Beethoven, Medtner, Prokofiev, Ravel et Chopin.
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